
La femme n'est pas agitée de gestes violents de malédiction ou d'effroi, comme le peintre l'avait imaginé dans ses premiers croquis : poitrine découverte et bras ouverts, presque agenouillée sur les ruines de la ville martyre, elle semble accepter le sacrifice qui lui est imposé, vivante condamnation de la violence qui s'est abattue sur la Grèce en révolte. Peut-on y voir le symbole triomphant de la prochaine résurrection de la nation grecque ? A la date où Delacroix peint son tableau, le succès des insurgés est incertain."
http://www.musba-bordeaux.fr/fr/article/la-grece-sur-les-ruines-de-missolonghi
dayofdoom, Posté le samedi 17 décembre 2016 05:08
Haidouk a écrit : " "
Faut dire qu'on a une actualité internationale pas chouette....Mais il y a toujours de l'espoir