
La femme n'est pas agitée de gestes violents de malédiction ou d'effroi, comme le peintre l'avait imaginé dans ses premiers croquis : poitrine découverte et bras ouverts, presque agenouillée sur les ruines de la ville martyre, elle semble accepter le sacrifice qui lui est imposé, vivante condamnation de la violence qui s'est abattue sur la Grèce en révolte. Peut-on y voir le symbole triomphant de la prochaine résurrection de la nation grecque ? A la date où Delacroix peint son tableau, le succès des insurgés est incertain."
http://www.musba-bordeaux.fr/fr/article/la-grece-sur-les-ruines-de-missolonghi
Le monde actuel à l'image de "La Grèce sur les ruines de Missolonghi" Attaqué mais debout, triomphant bientôt des obscurantistes à ne pas douter. Ultime combat pour vaincre l'ignorance, la peur, la souffrance et l'intolérance ?
Dayofdoom qui remercie la terre entière de lui fournir matière pour composer ce blog